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UN HOMME HEUREUX ......?
19 novembre 2014

Je voudrais devenir végétarien mais…

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Roberta Bartocci, coach végétarisme, nous aide à comprendre comment il est, en réalité, facile de passer au végétarisme. Il suffit d’appliquer 4 règles ! Comme tout coach qui se respecte, Roberta nous aide en nous offrant quelques précieux conseils :

« Il m’est arrivé plusieurs fois d’entendre des personnes exprimer le souhait d’adopter pour un style alimentaire végétarien mais, en même temps, de ne pas y arriver pour toutes sortes de raisons ou de l’avoir fait pendant une période et puis d’avoir dû faire marche arrière. Parmi les raisons les plus fréquentes, les personnes se plaignent d’épuisement physique, de difficulté de s’organiser en cuisine, d’une aversion pour les légumes, de la peur de carences nutritionnelles, de la désapprobation de l’entourage. »

C’est pourquoi, je vous propose quelques points de coaching appliqués au végétarisme pour vivre veg sans remords !

Règle numéro 1 : écrire les motivations qui poussent au choix végétarien. Comme pour contribuer à sauver les animaux de la souffrance et de la mort, pour donner un exemple à ses propres fils, pour améliorer sa propre santé. Être honnête avec soi-même dans la conviction de vouloir atteindre l’objectif est fondamental. Êtes-vous suffisamment convaincus et motivés ?

Règle numéro 2 : mettre par écrit l’objectif de manière spécifique avec une limite de temps définie. Par exemple : Pour le 31 août 20xx, je voudrais éliminer la viande rouge ou bien, je voudrais devenir végétarien pour le 1 janvier 20xx et ainsi de suite : l’objectif est subjectif. Vous avez donc bien défini l’objectif, c’est-à-dire votre point d’arrivée: visualisez-le et imaginez-vous dans cette condition. Il faut aussi que vous ne perdiez pas de vue que si beau et si ambitieux soit-il, l’objectif lui-même peut s’avérer être une motivation insuffisante.

Règle numéro 3 : nourrir l’esprit et l’inconscient en le visualisant et en mettant précisément par écrit tous les bénéfices que l’objectif arriverait à vous donner. Par exemple :  je pourrais regarder une vache dans les yeux sans me sentir coupable, je pourrais maigrir de quelques kilos, j’améliorerais finalement ma santé et je pourrais avoir une peau lisse et saine, je pourrais connaître beaucoup d’autres personnes qui partagent mon choix et agrandir mon cercle d’amis, je pourrais essayer de nouvelles recettes et organiser des dîners pour mes amis et ma famille, j’aurais finalement une bonne excuse pour m’inscrire à ce cours de cuisine, je me sentirais mieux dans ma peau etc…

Règle numéro 4 : elle est cruciale ! C’est la partie difficile et où beaucoup, au début de leur changement, se font avoir et retournent sur leurs pas : les difficultés. En effet, pour chaque changement et pour chaque objectif à atteindre, il y a aussi un prix à payer. Voilà pourquoi il est nécessaire de noter avec honnêteté les difficultés que vous pourrez rencontrer pour que vous soyez préparés à les affronter et surtout, pour que vous soyez disposés à le faire. Si les difficultés nous semblent insurmontables ou si elles nous terrorisent, il est utile de chercher en soi-même la raison de certaines résistances. Autrement, au premier obstacle, il est probable que vous rebroussiez chemin et qu’un nouveau blocage fasse surface, qui rendra encore plus difficile le choix veg dans le futur.

En résumé, « le prix à payer » pourrait être la difficulté de manger à l’extérieur, la peur d’avoir des carences alimentaires, de devoir se justifier avec les amis et avec la famille et bien d’autres situations encore.

Il faut donc, sereinement, prendre acte qu’il y a une solution pour tout : s’informer auprès d’un spécialiste approprié pour les préoccupations liées à la santé, recueillir des informations sur les conditions de vie des animaux élevés et les conséquences de la consommation de viande sur l’environnement, individualiser des moyens d’organisation pour les repas à la maison ou dehors…

« Il y a ceux qui mettent la photo d’un animal « totem » à côté de leur lit et qui éliminent la consommation de cette viande pour ensuite passer à une autre. Il y a autant de méthodes que de difficultés rencontrées. Généralement, la conviction est suffisante mais quand les influences externes sont fortes, il peut s’avérer nécessaire de se faire aider et j’espère que ces conseils pourront vous être utiles. »

A présent, êtes-vous d’avantage convaincus ?

 

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